Ce matin, à Bains-les-Bains :
Je roule vers le rond-point sortant de la ville. Devant moi, sur la route, il y a une espèce de petite boule vivante.
Un hérisson ? Je freine net. Je sors.
C'est un tout petit chaton, aux yeux collées fermées, le poil long hérissé dans tous les sens. Il vient vers moi, je le prends, il prend peur, me mord. Je le prends quand même et je l’amène directement au cabinet vétérinaire de Bains.
Je roule vers le rond-point sortant de la ville. Devant moi, sur la route, il y a une espèce de petite boule vivante.
Un hérisson ? Je freine net. Je sors.
C'est un tout petit chaton, aux yeux collées fermées, le poil long hérissé dans tous les sens. Il vient vers moi, je le prends, il prend peur, me mord. Je le prends quand même et je l’amène directement au cabinet vétérinaire de Bains.
D'abord, tout le monde me dit "faut l'euthanasier". Puis on me demande si je veux le garder "ou qu'est-ce qu'on fait ?"
Je réponds que il faut l'examiner, si vraiment il est trop malade, on l'endort, si il a une chance, ben voilà, pas le choix, je prends la responsabilité.
Plus tard à la maison, le cabinet me téléphone : Oui, il a une chance, mais un œil ne peut pas être sauvé, il restera aveugle sur celui-ci. Si non, oui, il peut survivre.
Je réponds que il faut l'examiner, si vraiment il est trop malade, on l'endort, si il a une chance, ben voilà, pas le choix, je prends la responsabilité.
Plus tard à la maison, le cabinet me téléphone : Oui, il a une chance, mais un œil ne peut pas être sauvé, il restera aveugle sur celui-ci. Si non, oui, il peut survivre.
Ils vont le garder jusqu'à lundi, ensuite j'irai le chercher.
Tout d'abord : A ceux qui ont viré ce petit chaton (ou sa mère) sur la rue, je vous dis merde. Vous êtes des gros cons.
Après, à tous ceux qui me disent et vont encore me dire qu'avec 6 chats et un âne et un cheval, j'ai déjà trop de bestiaux - oui, je sais. Et honnêtement, je ne sais pas comment je vais faire, avec tous les soins dont ce petit va avoir besoin.