L'étape suivante nous mena jusqu'à Maconcourt. Déformée par la politique que je suis, je lisais toujours « Macroncourt »
Une chaleur pesante |
La journée avait été, me semblait-il encore plus chaude que les les précédentes. A Maconcourt nous trouvions très vite notre lieu de bivouac. Un gentil couple nous permit de camper sur leur terrain.
Le lendemain, je me levais le plus tôt possible pour profiter le plus possible de la fraîcheur matinale qui ne durera pas. Je surveillais gamin de près. Heureusement que que les plaies de frottement e s'aggravaient pas. Mais il est clair qu'elles n'allaient pas guérir non plus, tant qu'on était en route. Mais bon, on sera bientôt à Domrémy. Encore Une nuit et après ce sera l’étape finale.
Le soleil tapait impitoyablement. L'air même était devenu si chaud qu'on avait l'impression d'inhaler un lance-flammes.
Vers midi, nous arrivions à Attégnyville. Là , nous trouvions notre camp du soir sur une magnifique ferme laitière. Il y a avait aussi un élevage de poules pondeuses. Les Vaches passent à la traite deux fois par jour, le matin et l'après-midi. Quand elles devaient rentrer de leur pré elles remarquèrent évidement ma tente et Gamin. Des regards de bovins surpris. Deux s'arrêtaient même pour nous contempler, arrêtant ainsi la file en marche. C'est toujours la même chose ! Les bouchons de circulations causées par ceux qui bloquent la routent parce que, esclaves de leur curiosité indécente, ils zieutent le site d'un accident ou autre « attraction ».
Circulez ! Il n'y a rien à voir. |
Il doit te tarder d'arriver à Domrémy ; la chaleur est épuisante pour toi et Gamin
RépondreSupprimerTu as trouvé la bonne solution pour rentrer, tu vas pouvoir bientôt te reposer et soigner Gamin;